19 avril 2011

Convexe, concave, sphérique, parabolique, elliptique : qui suis-je ?

Le MIROIR...

Imagineriez-vous un monde sans miroir ?
Sans possibilité de se mirer ?
Impossible...
Dès qu'il y a de la lumière, apparaît le miroir.
Le miroir réfléchit toute lumière.
On observe que la lumière fait apparaître la réalité.
plus de lumière, plus de réalité.
La réalité collective devient vérité collective,
vérité difficile à détrôner...
C'est le rôle des savants de détrôner les vérités obsolètes
ou peut-être celui des enfants...
Ne dit-on pas que la vérité sort de la bouche des enfants ?
Est-ce que c'est vrai ?
La vérité ne sort-elle pas de la bouche de quiconque ?
Tout ce qui sort de la bouche peut être regarde comme une forme de la vérité,
une interprétation de la réalité.
A-t-elle été déformée parce que le miroir de la réalité est peut-être déformant ?

Retournons sur les bancs de l'école réveiller
nos connaissances en matière d'optique:

miroir convexe
Le miroir de la réalité est-il un miroir convexe ?,
un miroir courbe où les rayons se réfléchissent à l'extérieur de la calotte afin de rendre visible des endroits cachés tout près :
carrefours dangereux, sorties de garage, caisses de grand-magasins, locaux en coin,...
Si vous avez observé que vous êtes passionné par les cachettes, par le détail,
sans doute regardez-vous la réalité avec un miroir convexe.
Êtes-vous aussi quelqu'un "qu'on vexe" facilement ?
D'ailleurs, l'œil n'est-il pas convexe ?


miroir concave


Le miroir de la réalité est-il un miroir concave ?
un miroir courbe où les rayons se réfléchissent à l'intérieur de la calotte
afin de rendre visible les endroits cachés très loin :
Le télescope utilise le miroir concave.
Êtes-vous un passionné du macrocosme, du global, du grand ?

Concave ou convexe, le miroir sphérique déforme la réalité en plus petit ou plus grand.


miroir plan
Le miroir de la réalité est-il un miroir plan ?

Un miroir-plan est, en optique, une surface plane parfaitement réfléchissante.
La réalité n'est pas déformée, le sujet et l'objet ont la même forme.


C'est pourquoi dans le "Work",
on se permet de permuter sujet et objet,
et on est devant une réalité aussi évidente.

(petite diversion):
On entend beaucoup parler de plusieurs dimensions.
Et si la destination première de l'homme incarné était de vivre
consciemment dans un espace uni-dimensionnel :
Reconnaître l'unicité de Dieu et de toutes choses.Une dimension où le sujet et l'objet se confondent ?
Dieu n'a-t-il pas fait l'homme à son image ?
Entre le créateur et la créature,
l'homme peut-il affirmer qui est l'un, qui est l'autre...
La danse est si rapide entre les deux que le sujet et l'objet se confondent..;
Suis-je ce que je vois ?

L'homme peut s'approcher d'une connaissance
grâce à l'expérience de la dualité et du miroir :
"c'est" et "ce n'est pas" coexistent ensemble,
c'est l'ambivalence par nature de séparation.
Séparer permet de connaître, c'est la base de la démarche scientifique
Unifier permet aussi de connaître, c'est la base du mariage alchimique.
L'alchimie est la chimie d'Allah.
Il y a le temps de la séparation et le temps de l'unification
Le temps de l'éloignement et le temps du rapprochement.
Toute partie séparée redevient instantanément unique et unifiée
et se re-sépare à nouveau.
Le processus est infini.

Et puis il y a le miroir parabolique,
celui des sages, celui des saints, le vôtre aussi peut-être.
Ils utilisent l'allégorie pour dispenser un enseignement moral ou religieux.
La parabole permet de comprendre en images
ce que les mots "compliqués" peuvent cacher.
Le sens de la parabole est facile à saisir :
elle permet l'ouverture à d'autres vérités plus grandes.
Elle est accessible à tous, petits et grands.



Enfin, il y a le miroir elliptique :
Comme son nom l'indique, il fait une ellipse.
Toute "planète" de notre système solaire forme une ellipse autour du "soleil".
Observons :
Toutes les réponses "retournées" (du work) sont contenues dans ce tracé...
C'est l'expression de la réalité matérielle et spirituelle accessible à tout homme.
Ce miroir permet à l'homme de reconnaître et de devenir ce qu'il est.

Tracé d'une ellipse à l'aide de deux piquets et d'une corde non élastique tendue

Le miroir sert-il de "rappel" ?
Est-il un "miroir aux alouettes" inverseur de la vérité ?
Le "Work" de Byron Katie utilise le miroir, tout miroir
pour reconnaître de plus grandes vérités.
Le "work" polit le miroir.
Dans le bouddhisme tibétain, le miroir est symbole de l'une des plus hautes connaissances :
que la réalité de toute manifestation n'est que vacuité.
Osons mettre toutes nos croyances devant le miroir de la réalité

et observons un nouvel univers radicalement différent
et merveilleusement bienveillant.

miroir "espion"


 Nous regarde-t-on derrière un miroir sans tain,
un miroir d'aspect normal par l'avant mais transparent en face arrière,
pour voir sans être vu ?
Qui pourrait nous regarder ?...

 

"Et puis il y a aussi le miroir con-casse,
un miroir cocasse,
quand on saute du coq-à l'âne..."
dixit mon Père,
qui cherche toujours le mot pour rire.
Que se passe-t-il quand la réalité n'est plus reflétée ?
Peut-il y avoir jugement sans reflet ?



L'accusation si fréquente, "Manque de reflexion", porte à réfléchir sur le miroir que la personne utilise.
Nous avons tous beaucoup à gagner dans la connaissance des uns des autres,
en reconnaissant le miroir que chacun utilise pour observer le monde.

6 avril 2011

Pimentez votre vie avec les contraires

Piment d'Espelette
Vendredi 1er avril à Sames.
J'arrive à l'école en ayant oublié que c'était une date que les enfants aiment célébrer.
.La journée des poissons d'avril et des blagues !
Alors, pas de rituel d'accueil, aussitôt c'est rassemblement au sommet,
tous assis sur 4 bancs en carré.
Et comme tous veulent des blagues,
c'est parti pour un appel différent :
"Saurez-vous vous reconnaître ?"
Lecteur, amuse-toi à reconnaître ces prénoms,
ils sont simplement syllabes inversées de droite à gauche :

Naiama, Nonni, Othé, Lalo, Exal,
Ca(s)lu, Paul-Jean, Telochar, Centvin, Rianflo
Ann-Lou, Vidda, Vaé, Zarenlo, Nnya,
Riando, Usrima, Selié, Tinmar, Mainro,
Viesyl, Echlo, Dieloé, Lasconi,, Riema,
Etteliju et le super : Karos ! (Carosse)

Quand tous se reconnurent, devant l'excitation et le désir de continuer à s'amuser ainsi,
nous recommençâmes avec une salutation debout chacun son tour,
un par un répondant :
"Jourbon, à tous"
20 minutes d'attention totale et de joie !
Et une journée entière à se nommer à l'envers...pour s'amuser encore plus.

On a continué avec les contraires.
Je propose de prendre une petite comptine que j'ai inventée il y a une vingtaine d'années
et de s'amuser avec, en trouvant les contraires et bien sûr
en adaptant les nouveaux gestes au nouveau sens.

Résultat :

un petit doigt s'ennuyait..........1 petit doigt jouait bien
2 petits doigts s'aimaient bien........2 petits doigts s'aimaient mal
3 petits doigts c'est pour écrire..........3 petits doigts c'est pour gribouiller
4 petits doigts c'est pour danser............4 petits doigts c'est pour faire le bazar
5 petits doigts c'est pour se donner des coups de poings
5 petits doigts c'est pour se donner plein de caresses, douces, douces, douces
ou bien pour s'aimer toute la vie...........ou bien pour s'aimer toute la mort
Youpi...................Piou-Piou, Piou-piou !

Ont-ils apprécié de modifier une de leur comptines préférées ?
Bien plus que ça !
et l'occasion était présente pour aborder le thème (t'aime...) de la mort. :
s'aimer toute la mort....
Au moins un tiers des enfants ont pris la parole pour exprimer
qu'un animal qu'ils aimaient ou un grand-parent était mort et
qu'ils l'aimaient toujours et qu'ils y pensaient encore quelquefois, ou souvent.
Rarement les enfants s'écoutent avec autant d'attention.
Le plus souvent, j'interromps les partages de paroles par manque d'écoute.
Ce matin-là, l'attention était présente, ils étaient tous tendus d'intérêt.
les contraires étaient le piment du jour.

(Merci à Byron Katie qui m'a si bien initiée à la pratique des renversements)

Il faut savoir, ou se souvenir, qu'à 4 ou 5 ans, dire le contraire
c'est utiliser le "(ne) pas".
C'est à dire, s'ennuyer devient pas s'ennuyer.
Alors on "passe ennuyer" et on trouve jouer bien, par exemple.
(je m'amuse...)
"s'aimaient bien" devient "s'aimaient pas bien.
Alors, on "passe bien" et on trouve "s'aimaient mal".
On peut s'aimer bien ou mal, mais on s'aime quand même.
C'est comme le bonheur :
On est tous heureux, certains le sont bien... bien-heureux,
certains le sont mal...mal-heureux.
Un petit enfant voit tout le monde s'aimer et être heureux,
plus ou moins bien mais toujours bien.
(lire notre article à ce sujet : 
Ce qui est juste c'est de faire le Bien, est-ce que c'est vrai ?)


On s'aperçoit qu'on a vraiment grandi quand on voit que le mal existe.
On le voit, on le sait, on le croit dur comme fer.
et c'est comme ça qu'on retourne à l'âge de fer.
L'âge de fer, c'est l'enfer !
On a les mots pour le dire,
on a les mots pour le faire !


Que s'est-il donc passé ?
Ce qui se passe, en grandissant,
c'est que la banque de nos mots augmente.
nous devenons de plus en plus riches de mots;
et des mots qui sont de "vrais" contraires !
Des mots qui nous emmènent sur une planète étrange, pleine d'étrangers
où tout est à l'envers !
Une planète où  le Bien devient le Mal...
A 4 et 5 ans, mes élèves ne connaissent pas encore le mal.
Le Mal n'est pas naturel.
Ils connaissent le "pas" bien, le pas (faire un pas) de travers,
"j'ai mal visé" !
Jusqu'à un certain âge, le mal n'existe pas, il est l'absence de bien !
Un vide de Bien.
Alors que reste-il à faire, devant un vide,
devant un manque ?
Juste remplir ce qui est vide !
Et donc,...
Je n'accuse pas celui qui fait un pas de travers,
je lui demande s'il a compris maintenant, grâce au pas de travers,
ce qu'il faut faire pour marcher plus droit.
Nos erreurs, "les pas de travers", ne sont-ils pas les meilleurs pédagogues ?
Comme ça a l'air simple!
Comme ça pourrait être simple d'éduquer nos enfants !

Avons-nous grandi ?
Avons-nous déjà le mot qui dit le contraire ?
Nous sentons-nous "orgueilleux"de savoir si bien connaître le mot juste à utiliser ?
Sommes-nous dédaigneux envers ceux qui ne "possèdent" pas les mots que nous possédons ?
Quels efforts faisons-nous en tant que parents
pour emmener nos enfants vivre sur la planète du Bien et du Mal ?

Pourrions-nous faire le contraire ?
Faire ce que le Christ demande quand il dit :
"Si vous ne vous retournez pas et ne redevenez pas comme des petits enfants,
 Parachute obligatoire !
vous n'entrerez absolument pas dans le Royaume des cieux".
C'est à dire, voir le mal comme un vide de bien, et montrer l'exemple
L'ombre, comme une absence de lumière et donc ouvrir la porte

Avez-vous besoin d'aide pour vivre dans le meilleur des mondes :
la Terre ?
Avez-vous besoin d'aide pour quitter le monde de la souffrance ?
Si vous ressentez de la souffrance, si vous voyez le Mal,
peut-être vivez-vous exilé "aie-lleurs" ?
Votre corps est sur la Terre mais il est peut-être vide de vous ?

Chaque fois que nous jugeons le monde, les autres et nous-même,
colonnes de l'Agora
nous nous exilons aussitôt dans le monde du bien et du mal.
Dans l'ailleurs du pays de nos aïeux peut-être...
Nous croyons nos pensées, nous les cultivons,
nous comparons tout, nous jugeons tout,
et nous rangeons tout dans 3 colonnes :
Bien, Mal et Neutre (ni bien, ni mal)
Comment sont nos colonnes ?
Y-en-a-t-il une plus élevée ?
Auriez-vous construit plus que 3 colonnes ?
Et que soutiennent-elles ?

La Terre est en réalité, une grande cour de récréation où il n'y a que des enfants qui jouent,
qui aiment leurs parents et qui aiment leur montrer ou leur dire : je t'aime.
Des enfants qui oublient quand ils rencontrent un " moins bien".
La terre est une planète où les grands enfants chantent des louanges.

Vous ne reconnaissez pas la planète ou vous croyez vivre ?
C'est peut-être que vous n'avez pas encore osé ouvrir les yeux.
Il y a tant de lumière !
Le soleil brille le jour et la nuit étincelle de milliards d'étoiles.
Il faut s'habituer à la lumière pour ne pas être aveuglé...
Mettre des lunettes noires par exemple ?...
Portez-vous des lunettes noires,
des lunettes qui vous font voir la "noirceur" du monde ?
Mais est-ce le monde qui est noir ou vos lunettes ?

Sylvie
Nous pouvons vous aider à enlever vos lunettes,
avec votre permission et votre volonté.

2 avril 2011

Comprendre la dyslexie autrement

DYSLEXIE  merveilleuse capacité...

Le regard habituel :

Des difficultés sont observées lors de l'identification des mots
  • des confusions phonétiques, auditives ou visuelles ;
  • des élisions, adjonctions ou inversions de lettres ;
  • une lenteur dans le traitement des éléments lus.
Deux types d'atteinte sont distingués :
  • la dyslexie dysphonétique (ou dyslexie phonologique, ou dyslexie profonde) est une difficulté/impossibilité à convertir les graphèmes en phonèmes (procédure d'assemblage déficiente) ;
  • la dyslexie dyséidétique (ou dyslexie lexicale, ou dyslexie de surface) est une difficulté à mémoriser la forme globale des mots (procédure d'adressage déficiente).
Un autre regard :
(nous reprenons les mêmes observations que nous complétons à la lumière des retournements.)

Des facilités sont observés lors de l'identification des mots :
et quelles facilités ?
La personne est-elle en fait, capable de voir à travers le mot, de faire danser les lettres et de rendre le mot vivant ?
C'est ainsi que LA devient AL (Allah ?)
que AR devient RA (dieu du soleil ?)
que LE devient EL (les Elohim ?)
que les lettres dansent et animent les mots d'un autre souffle.

Les mots sont-ils devenus des lettres mortes, qui ne dansent plus ?
Pouvons-nous laisser la dyslexie exister et les lettres renversées nous redonner une vie nouvelle ?
Est-ce la fonction de la dyslexie ?

On estime qu'elle touche de 8 à 12 % de la population !
Ces personnes sont naturellement attirées par la danse des lettres, redonner vie à la lettre, aux lettres et au sens littéral.

L'identification des mots est liée à notre capacité à nous identifier, à créer une identité solide et performante.
Mais ces personnes ne seraient-elles pas naturellement attirées par le processus de désidentification naturelle
dans le chemin de la quête (qui suis-je?)

Dans ses efforts pour écrire comme "tout le monde" (tout le demon...),
la personne dyslexique souffre de sa différence qui l'éloigne des hommes qui écrivent "droit".
La personne  dyslexique peut vivre une double séparation :
avec les hommes et avec elle-même,
et peut expérimenter une grande solitude et vivre dans une vive incompréhension.

Et si l'inversion des lettres manifestait la volonté de l'âme à retourner en "Dieu"?
Faire le Retour...
"Retournez-vous" nous demande le Christ "et redevenez comme de petits enfants"...
Je peux vous témoigner, en tant qu'enseignante en maternelle,
que les enfants qui apprennent à écrire leur prénom font naturellement "danser" les lettres !
Inverser...opposé, contraire, tous ceux qui pratiquent le "Work" de Byron Katie
n'ont-ils pas observer la magie de l'inversion pour comprendre l'incompris ?
Excellente inversion qui manifeste une autre réalité aussi vraie, voire plus vraie.
Seule "l'ondulation de votre cœur" peut vous indiquer la vérité.
A chacun de ressentir ce qui est vrai...

Ne serait-ce pas tant les mots que les personnes dyslexiques identifient difficilement,
mais bien plus les silences, le Silence?
La personne dyslexique, cherche-t-elle à faire parler les silences, le silence ?

Le silence est défini comme l'absence de tout bruit, toute agitation.

La personne dyslexique a-t-elle dans son histoire, ses gènes,
une expérience difficile du silence :
Le silence serait-il bruyant et agité,
alors les lettres font du bruit et s'agitent !

Qu'entendent donc les personnes dyslexiques dans le silence ?

Et si ce qui est observé comme
"des confusions phonétiques, auditives ou visuelles"
était un silence, habité par des sons et des visions plus ou moins confortables,
le plus souvent incompris car non expliqués
puisque n'ayant pas retenu l'attention des adultes autour de la personne dyslexique.

La personne dyslexique cherche-t-elle à s'unir au Créateur, à vivre en Lui ?
A-t-elle du mal à exister pour elle-même, à se re-con-naître
et donc elle peut oublier des lettres, en rajouter...
et exprime un désir de Retour en inversant le sens des lettres.

"une lenteur dans le traitement des éléments lus."
A la lumière de ce qui précède, pouvez-vous recevoir que
 les personnes dyslexiques sont peut-être :
- rapides dans le traitement des éléments lus  :  vont-elles trop vite et manquent-t-elles d'attention à l'ordre des lettres
- lentes dans le traitement des éléments entendus (dans les silences...)

"impossibilité à convertir les graphèmes en phonèmes"

Et pourquoi ?

Thot, dieu des scribes
Dans les mondes du silence, la personne s'est-elle retrouvée
devant le graphisme/la calligraphie du Nom de Dieu
et a-t-elle été incapable de le convertir en son ?
Le Nom imprononçable ?
Et pourquoi pas ?
Et quel silence est celui de "Dieu" ?
Ou y-a-il eu, plus tôt,...
Thot : Dieu des scribes et de la parole créatrice, et chargé de l'écriture et la lecture...
 Y-a-il eu, plus tôt, une impossibilité à convertir les phonèmes en graphèmes :
les sons entendus dans le silence, un silence "bruyant"...
qu'a donc entendu la personne dyslexique dans "le silence" ?
et quel silence ?
Un "silence" familial ?
Une lourde histoire jamais exprimée ?
Un silence bruyant...
...un signal audio est considéré comme silencieux si son niveau sonore est en dessous de 40dB.
Que s'est-il passé dans l'enfance, dans le temps sans mots, une expérience peut-être pénible avec des sons bien au dessus  de 40 décibels...



"difficulté à mémoriser la forme globale des mots (procédure d'adressage déficiente)."
Ne serait-ce pas, plus tôt (Thot, encore lui ?), une difficulté à mémoriser la forme précise des mots (maux ?) ?
ou bien une difficulté à oublier la forme globale des mots (maux ?)
ou encore une difficulté à mémoriser la déformation globale des mots !

N'oublions plus que la personne dyslexique n'oublie pas Dieu !
Savons-nous écouter les silences ?
Sommes-nous dérangés par le silence ?
Il est des silences qui dérangent les lettres !

Tout est possible...
L'exercice du "Work" ouvre l'esprit au possible et au "vrai-semblable".
Avez-vous remarqué ?
A chacun de juger et de comprendre
pourquoi une affirmation quelle qu'elle soit nous semble fausse
et d'investiguer nos raisons une par une.